Le transsibérien : bonne ou mauvaise expérience ?

Première porte pour atteindre la voiture 19 : dix fois plus lourde que mes valises.  J’utilise toute l’énergie qu’il me reste et met toutes mes forces pour la tirer vers moi avant que le cauchemar ne continue : le train vient de démarrer. Pire encore, les deux voitures sont reliées par un simple crochet, nous sommes en extérieur et voyons les rails défiler sous nos pieds : un seul faux pas, et c’est sous le train que nous passions.

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